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jeudi 19 septembre 2013

les yeux dans la nuit - acte II scène 1

suite du scénario "Des yeux dans la nuit"

les PJ sont réveillé très durement le lendemain matin. Un soldat (qui est donc techniquement au dessus d'eux) débarque dans leur chambre, hurle un ordre de rassemblement et "aide" ceux qui ont le plus abusé la veille (i.e. qui ont raté leur jet d'endurance contre la beuverie) à grand coup de lattes dans les côtes.

Le maître séant, paladin de Baine, leur explique qu'ils vont être regroupés par équipe d'un même village, noté pour leur comportement général et soumis de temps à autre à des épreuves pour voir comment ils s'en sortent. Les meilleurs gagneront la possibilité de devenir membre à part entière de la Main Ecarlate et leur village se verra exempté de service pour un an. Les autres (les perdants) verront la charge de leur village pour le service augmenter. Les règles sont simples : tous les coups sont permis pour gagner lors des épreuves, sauf tuer (donc oui, estropié, ça marche). Hors épreuves, l’intérêt de la forteresse et donc du groupe passe avant tout donc pas d'attaques (voyantes). Une personne qui sent qu'elle sera vaincu a la possibilité de se rendre. Son vainqueur doit accepter la reddition et aura la personne à son service pendant une semaine (un moyen d'inciter ces jeunes futurs bainien a oppresser les vaincus et vu que être vaincu signifie l'humiliation, il y a fort à parier que le vaincu se battra à fond la prochaine fois).

Première mission (et donc pas épreuve) : 2 groupes accompagnés d'un pisteur chevronné du fort partent en patrouille pour 2 jours dans la montagne.

Les PJ retrouvent le grand air après presque 2 ans de de quasi réclusion. Ils n'en profitent pas longtemps : après quelque heures de marche, ils tombent sur un cadavre de loup bizarrement tué. Le groupe, décidé à se faire bien voir, fonce analyser l'endroit et quelques beaux jets permettent aux PJ d'identifier que le loup n'a pas été tué pour se défendre ou pour être mangé, que des humanoïde de taille P, assez chargé sont passés par là il y a 3 jours et qu'ils filent vers le nord en laissant 2 séries de traces. Le pisteur et l'autre groupe, moins débrouillard, suivent une des deux séries de traces et les PJ une autre. Après une traque en pleine nature, les PJ identifient que leurs proies avancent lentement (probablement de nuit) et sont passé là où ils avait vu la lueur mauve il y a deux jours. Ils leur reprennent du terrain au point de les rattraper. Le groupe souhaitait être discret mais le paladin (évidement) a un peu de mal avec la discrétion et il se propose de partir devant, d'attirer l'attention pour révélé leurs proies. Il a eu donc le droit à une bonne petite embuscade bien sentit et compris que l'armure de plate et le bouclier lourd avait aussi leur limite...

Le groupe est donc attaqué par des gobelins (n'oubliez pas que seul un des trois est un vétéran de D&D, les autre ont donc eu le droit aux grands classiques des premiers niveaux) qui se réfugient dans un caverne (en ayant laissé des tireurs à l'extérieur). L'un des gobelins a subit visiblement une transformation peu ragoutante, il se bat à griffe nues et sécrète un liquide noir au propriété acides et nécrotiques. La magicienne, après quelque flèches se décide à faire le ménage à grand coup de sphère enflammé. Le barbare relais le paladin au contact, ce dernier ayant pris trop de coups. Notre ami barbare peut s'en donner à coeur joie d'attaque à 2 armes sur plusieurs adversaires. Après quelques jolis rounds, le dernier gobelin s'écroule, assommé par le paladin qui voulait en prendre un vivant.

Dans la grotte, nos amis trouve un camps sommaire, quelque babioles et surtout un cocon (que transportait les gobelins), éventré, emplie de substance gluante et dont la créature, de type gelée ocre, est morte-née. Reste à rejoindre la patrouille dans un refuge à 3h d'ici et de faire un rapport...

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