Ultimatum
Après leur victoire sur Rezmir, nos aventuriers planairs envisagent
de rentrer chez eux. Celinus tente d'utiliser le parchemin de
souhait. Helas, ses talents
en magie ne suffisent pas pour un sort de cette puissance et elle
tombe dans un comma magique avant toutefois que le parchemin ne perde
son pouvoir.
Devant ce contre-temps, Zymerion demande à ses amis dimensionnels
leur aide pour une dernière tâche : abattre Agentus Blackly et
la tour du dracommandeur, dernier obstacle avant la libération de
Portedragon. Après hésitation, nos tueur de draconiques acceptent.
Zymerion propose de prendre d'assaut la tour dracommandeur, tâche
difficile qui réclamera à peu près une semaine de préparation.
Nos héros assistent leur ami gnome en observant les mouvements des
gardes draconiques autour de la tour.
Le deuxième jour, nos rebelles sont surpris par le retour de
Lenninthon, le dragon bleu, via la Porte des Glyphes. Sa voix
puissante projette un ultimatum : les assassins de Rezmir ont
trois jours pour se rendre, à défaut de quoi, il rasera
Portedragon. Ceci dit, le dragon se dirige à l'est vers l'équivalent
de l'Ossuaire à Ouestporte : la Tempête.
Mauvaise
rencontre
Plus tard les informateurs de Zymérion rapportent qu'une petite
troupe de drakéïdes d'élite est également partie vers la Tempête,
avec un peu de matériel. Zymérion pense que le dragon prépare
quelque chose et demande à ses amis d'aller découvrir quoi,
accompagné de Bojask, le rôdeur.
Si la sortie de la ville, verrouillée par la loi martiale, ne posa
pas trop de problèmes, l'entrée dans la Tempête fut une autre
histoire. Cette zone d'orage, de vent violent et de foudre perpétuel
est un environnement plutôt inhospitalier, craint à juste titre.
Sur les traces des drakéïdes, le groupe comprend très vite qu'il
est sous-équipé pour la situation. Les éclairs frappent
aléatoirement, parfois sur les êtres vivants, surtout ceux en
armure métalliques...
A ça, s'ajoute les passages périodiques de Lenninthon, qui
surveille son territoire. Après quelques heures, nos crapahuteurs
eurent le malheur de croiser la route du gros lézard. Un souffle
électrique plus tard, Petit Scarabé tombe inconscient et Arthéus,
Sirius et Bojask sont grièvement blessés. Heureusement que le
dragon ne fit qu'un passage…
Bojask distribue des potions de soin et trouve un endroit pour
permettre au groupe de se remettre de cette mauvaise expérience.
Le camps
draconique
En
fin de journée, le groupe atteint une
série de falaises. Au sommet d'une d'entre elles, le camps drakéïde.
Le groupe décide une première approche discrète, afin de glaner
quelques informations avant, éventuellement d'attaquer. Petit
Scarabé et Arthéus étant les plus furtifs, le masque de dragon
bleu, qui permet (entre autre) de comprendre le draconique, leur est
confié. Ils approchent sans peine le camps et apprennent que le
camps est destiné à s’agrandir avec d'autres drakéïdes sensés
arriver les jours suivant. Les drakéïdes semblent avoir pour
fonction de protéger quelque chose de précieux pour le dragon,
quelques chose qui se trouvent à une heure de marche du camps, niché
dans un relief montagneux. Arthéus remarque également une rune au
milieu du camps qui le protège contre les éffet néfaste de la
Tempête. Les drakéïde ont un ensorceleur parmi eux.
De
leur côté, Sirius et Bojask cherchent un abris pour la nuit. Sirius
avise une forme au sol qui resseble à un corps. Couvert par Bojask,
il s'approche prudemment et découvre un cadavre, celui de Bojask… Soupçonneux, Sirius fouille le corps et les environs, tout en gardant
un œil sur le Bojask derrière lui. Tout correspond à ce qu'il siat
de Bojask (et à celui derrière lui). Il trouve également un
morceau de noqual blanc. Sirius retourne voir Bojask et l'interroge
sur un fait connu seulement d'eux, le demi-orc répond correctement.
Sirius envisage que le corps
soit celui de son compagnon à Ouestporte, arrivé sur ce demi-plan
par un autre moyen (le portail de la Tempête ?). Le Bojask
« local » lui fait d'ailleurs remarquer les traces de la
présence d'un dragon non loin du corps. On devine donc qui est
l'assassin du Bojask-de-Ouestporte. Sirius empêchera Le Bojask local
de voir « son » corps et l'enterrera dignement. Le groupe
passe la nuit dans une grotte non loin, sans incidents notables.
La cours du
tonnerre
Le lendemain, le groupe décide de découvrir ce la nature de ce
« trésor » que doivent protéger les drakéïde, à
distance. Sur le chemin, le groupe avise un étrange champs de
noqual, exposé à la Tempête et gardé par deux élémentaire
d'air. Un peu plus loin un navire réparé et flottant au dessus du
sol.
Nos héros intrigués décident d'aller voir. Après un contact
compliqués (les élémentaires comprennent le commun mais ne parlent
que l'aérien, une série de sifflements à tonalités variées), ils
sont introduit auprès du « roi » de « la cour du
tonnerre » un myrmidon d'air du nom de Yenten. Yenten comprend
et parle le commun, ce qui facilite les échanges. Soupçonneux,
voire territorial, Yenten est adoucis par les talents de diplomate
d'Arthéus et de Sirius, pendant que Petit Scarabée sert de
conseiller, en cherchant à lire les émotions de l'élémentaire.
Très vite, il apparaît que la cour du tonnerre n'est pas l'alliée
de Lenninthon et qu'elle sait ce qui se cache dans les collines :
la progéniture du dragon. Yenten est très intéressé par les
médaillons en noqual que portent nos baroudeurs. Quand Sirius lui
dit posséder plusieurs kilos de noqual, le roi est plus qu'intéressé,
il demande vivement un échange. Il semble que les élémentaires
chargent le noqual en électricité via la Tempête et qu'ils
utilisent cette énergie pour activer la magie du bateau : se
mouvoir et utiliser ses armes : 8 canons à électricité.
Nos aventuriers estiment pouvoir tirer profit de ce genre d'échange
en poussant les élémentaires à attaquer les drakéïde et à
utiliser leur bateau comme moyen de transport sûr dans la Tempête.
Hélas Yenten est meilleurs négociateur que prévu et Sirius
s'engage à lui donner tous le noqual qu'il a à Portedragon, à
savoir si la dette sera payée...
la Progéniture
de Lenninthon
Transporté jusqu'à la grotte de la Progéniture, nos chercheurs de
problèmes se décident pour une approche ouverte, on leur a quand
même parlé de quatre dragons… Bojask, qui a une bonne expérience
des races draconiques leur fait part de ses réflexions :
Lenninthon est, physiquement, un dragon adulte en passe de passer au stade
« ancien », ce qui ne concorde pas avec les recherches du
demi-orc sur cette créature, censée être jeune en passe de
devenir adulte. Il en va de même pour la Progéniture, décrite
comme jeune alors qu'ils devraient être des dragonnets. Le groupe
suspecte que le dragon ait trouvé un moyen d'accélérer sa
croissance. Ce qui n'aurait pas forcément accru son expérience. Et
il en serait de même pour la Progéniture.
Dès l'entrée de la grotte, nos héros font face à un jeune mâle
au ton très agressif et qui exige un tribut. Le groupe improvise sur
le pouce une histoire de visite depuis un autre monde (ce qui est
assez vrai) pour leur rendre hommage. L'arrivée d'une femelle un peu
plus âgée et plus méfiante rend la chose plus compliquée mais
Arthéus ayant quelques talent de menteur, le groupe parvient à
monter une histoire de prophétie parlant de quatre dragons bleus,
frère et sœurs, amené à devenir de puissant souverain du
« deuxième monde ». Un troisième dragon, un mâle à
l'air retors, se joint à la conversation.
Le groupe accepte de se délester de quelques objets magique mineur en guise de tribu et tente de semer la confusion dans la fratrie en ajoutant que la prophétie parle de tuer leur père qui s'apprête à les dévorer. Les dragon s'étonnent, ils sont cinq, mais l'un d'eux est malade. Nos faux-prophètes insistent sur le nombre de quatre, laissant planer un doute sur le destin du dernier. Bojask, ayant une bonne connaissance de l'anatomie draconique et connaissant quelques sort de soins, accepte de voir le dragon malade pendant que le reste du groupe entretient l'illusion. Ils apprennent au passage que Portedragon et ce « monde » sera détruit dans quelques jours et que les dragons sont censés passé dans le « deuxième monde » avec leur père. De la mère aucune trace. Bojask revient, le dragon, un mâle, a été empoisonné par une substance inconnue. Il a aussi vu le quatrième dragon sain, une femelle, qui veille son frère. Petit Scarabé lui propose de retourner voir le dragon pour faire semblant de lui administrer un remède et apaiser les quatre autres qui commencent à s'agiter. Dans la grotte du malade, Il remarque quelque chose dans un coin de grotte que les dragons évitent instinctivement : du noqual blanc, comme celui trouvé sur le cadavre de Bojask-de-Ouestporte. Nos draco-médecin pensent tenir la source de l'empoisonnement. Sirius et Arthéus envisagent alors d'empoisonner les autres en leur disant que leur père est à l'origine de ceci et qu'il doivent prendre un antidote préventif, à base de la même substance (le morceaux trouvé sur Bojask). De manière assez incroyable, les deux guerriers se révèlent assez talentueux pour tromper les dragons. Bojask prépare un pseudo-antidote et convainc les dragons de le prendre puis d'envisager d'affronter leur père. Le groupe sors donc de la grotte vivant, sans avoir tiré l'épée (ou la hache, ou les poings) et en ayant peut être réussi à empoisonner quatre dragons.
Un dragon ça va, quatre dragons, bonjour les dégats ! |
Le groupe accepte de se délester de quelques objets magique mineur en guise de tribu et tente de semer la confusion dans la fratrie en ajoutant que la prophétie parle de tuer leur père qui s'apprête à les dévorer. Les dragon s'étonnent, ils sont cinq, mais l'un d'eux est malade. Nos faux-prophètes insistent sur le nombre de quatre, laissant planer un doute sur le destin du dernier. Bojask, ayant une bonne connaissance de l'anatomie draconique et connaissant quelques sort de soins, accepte de voir le dragon malade pendant que le reste du groupe entretient l'illusion. Ils apprennent au passage que Portedragon et ce « monde » sera détruit dans quelques jours et que les dragons sont censés passé dans le « deuxième monde » avec leur père. De la mère aucune trace. Bojask revient, le dragon, un mâle, a été empoisonné par une substance inconnue. Il a aussi vu le quatrième dragon sain, une femelle, qui veille son frère. Petit Scarabé lui propose de retourner voir le dragon pour faire semblant de lui administrer un remède et apaiser les quatre autres qui commencent à s'agiter. Dans la grotte du malade, Il remarque quelque chose dans un coin de grotte que les dragons évitent instinctivement : du noqual blanc, comme celui trouvé sur le cadavre de Bojask-de-Ouestporte. Nos draco-médecin pensent tenir la source de l'empoisonnement. Sirius et Arthéus envisagent alors d'empoisonner les autres en leur disant que leur père est à l'origine de ceci et qu'il doivent prendre un antidote préventif, à base de la même substance (le morceaux trouvé sur Bojask). De manière assez incroyable, les deux guerriers se révèlent assez talentueux pour tromper les dragons. Bojask prépare un pseudo-antidote et convainc les dragons de le prendre puis d'envisager d'affronter leur père. Le groupe sors donc de la grotte vivant, sans avoir tiré l'épée (ou la hache, ou les poings) et en ayant peut être réussi à empoisonner quatre dragons.
Le sorcier des
tempêtes
Sur le chemin du retour, nos draconicides avisent un spectacle
étonnant : une silhouette encapuchonné de vêtement violets tenant un baton blanc en main semble méditer au milieu d'une série
d'éclairs qui tombent a rythme très élevés autour d'elle. De
loin, Arthéus aperçois les mains de l'individu : il a la peau
noir, ce qui pourrait bien en faire un drow. Sirius s'approche malgré
tout et la silhouette lui intime l'ordre d'arrêter d'avancer, ce que
Sirius fait et qui lui évite d'être frappé par un dernière
éclair. Le drow se retourne, il s'agit d'Athos, l'ensorcelleur qui
avait brièvement fait partie du groupe sur l'île du coude dudiable.
Athos étudie ce demi-plan, créé lors de leurs aventure commune, et
sa destruction prochaine. Oui, sa destruction prochaine. Car le
demi-plan de Portedragon est destiné à être détruit dans les
quelques jours, ainsi que les dragons l'avaient dit. La Tempête
avance progressivement depuis sa création, probablement par Rezmir
pour entrer et faire entrer Lenninthon sur ce demi-plan. Le phénomène
était lent, jusqu'à il y a quelques jour, quand Lenninthon vint
refermer le fameux portail se qui déstabilisa la zone et provoqua son
accroissement. La Tempête s'étend donc, détruisant tout sur son
passage, quand elle atteindra Portedragon et la Porte des Glyphes,
elle provoquera une instabilité planaire qui annihilera cette poche
dimensionnelle. Athos, curieux étudie ce phénomène.
En souvenir de leur aide, il accepte de ramener nos héros condamnés
sur leur plan. Mieux, si ils peuvent lui procurer « le livre
des quatre portes » que possède Argentus Blackly, il pourrait
peut être sauver ce demi-plan (et une grande partie de ses
habitants, ce qui n'est pas rien, même si du point de vue de nos
aventuriers auto-centrés, ce ne sont « que des doubles de
personnes » qu'ils connaissent). En attendant Athos leur
propose de les téléporter au lieu de leur choix. Étonnante
sollicitude dont ce drow fait preuve...
Bataille sur une
falaise un soir d'orage
Désireux, de s'assurer que le marché a été respecté, et espérant
peut être un peu d'action, nos aventuriers des Tempêtes demande à
Athos de les envoyer au camps drakéïde avant de retourner à
Ouestporte.
Sur place, la cours du tonnerre est bien présente, affrontant les
drakéïde mais la situation n'est pas aussi bonne que prévue. Les
drakéïdes ont reçu du renfort et certains se montrent résistants à
l'électricité, arme principal du bateau des élémentaires. Au
corps à corps, les drakéïdes n'ont rien à envier aux
élémentaires, l'issu du combat semble incertaine. Nos valeureux
héros sont téléporté non loin du champs de bataille mais leur
arrivée n'est pas remarquée, leur donnant un avantage. Ils décident
de frapper au coeur du camps ennemi en attaquant le groupe comprenant
le capitaine drakéïde, un individu avec un œil chassieux, et l’ensorceleur drakéïde. Chargé de poison anti-draconique dont
Muftar avait fait les frais, Arthéus rafale les flèches pendant que
Sirius, Petit Scarabé et Bojask l'appuie avec des armes de jet. Très
vite le combat tourne à la mêlée et le capitaine qui semble
reconnaître Sirius le charge avec rage. Sirius croit se souvenir
d'un malfrat de « la main de l'indigent » qu'il avait
laissé pour mort à son arrivé à Ouestporte et qui avait la même
particularité. Son double portedragonnien a pu finir transformé en
drakéïde dans cette réalité…
La bataille fait rage, nos héros viennent à bout des drakéïdes
venu au contact, mais l’ensorceleur fait pleinement usage de sa
magie, n'hésitant pas à employer de bonne vielle boule de feu quand
il s'avère que ses alliés n'ont aucune chance. Nos tueurs de
drakéïde finissent toutefois par le vaincre, aider par la cour de
tonnerre, avant qu'il n'ait le temps de s'enfuir via un sort de vol.
Le camps est détruit et nos héros sont téléporté par Athos, à
Portedragon pour ramener les précieuses informations qu'ils ont
glanés
Le compte à rebours à commencé, d'ici trois jours Portedragon sera
libre… ou anéantie
MJ – Zymerion vient vous voir pour vous demander de l'aide avant de
partir, afin de vaincre le mage Argentus Blackly
le Groupe – Fais chier, on
serait bien rentré tout de suite à Ouestporte… Bon aller !
Ok, on le bute
MJ – Zymerion ? (non en fait, ils parlaient d'Argentus)
Un MJ habitué aux décisions chaotiques de ses joueurs...
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