L'écran c'est le miroir entre les joueurs et le MJ et quel que soit le côté où vous êtes, il y a toujours un autre côté... Venez donc explorer ma face du miroir

mardi 3 mars 2015

Buja Zombi

Cette partie était motorisée à partir d'un jeu créer par Nerul, un grand merci à lui, et largement inspirée de la première partie qu'il nous avait fait jouer avec ça création, un deuxième grand merci.
Le principe de base est simple : tout ce qui est IRL est aussi dans le jeu. Par exemple, si un joueur me demande si il y a une chance qu'il ait une batte de baseball dans sa voiture, on ira vérifier si il en a bien une en vraie. Tous les détails, hors zombis et autre conspiration, sont donc réels.




Bujumbura, janvier 2015 :
La situation est relativement tendue suite à des émeutes dans le "quartier asiatique", totalement sous contrôle, bien évidement. Côté économique, la Pharmex, une société produisant des médicaments et des vaccin aurait signé un gros contrat avec un industriel burundais. Le nom du partenaire et la nature du contrat sont encore inconnus. Enfin, on signal des cas de rage en ville. Les patients ont été transporté à l'hopital Boumerek où il ont reçu un traitement curatif (et ce, en dépit du fait qu'il n'y a aucun traitement validé contre la rage. Le "protocole Milwaukee", par exemple, n'est qu'expérimental).

La partie de jeu de rôle
Vincent, gendarme, Sébastien, chiffreur et Baptiste, stagiaire d'école de commerce, sont en plein milieu d'une partie de jeu de rôle chez Nicolas, bioinformaticien et MJ. C'est une histoire d'aventuriers cherchant à se venger du gouverneur d'une cité portuaire où règne le crime et au dessus de laquelle plane une ombre mystérieuse.
Au milieu de la partie, le talkie-walkie d'urgence émet un message de la part de Manu, collègue de Vincent : Des troubles ont eu lieu en ville et il est recommandé à toute la communauté française de rester chez soi et de ne pas circuler en ville avant que les choses ne se soit calmées.

Peu de temps après, un bruit se fait entendre à la porte du jardin de Nicolas. Dans un premier temps, le gardien répond, puis un silence plane sur le jardin, plongé dans les ténèbre. Polka, le cocker de Nicolas gronde. Nicolas emmène Polka dehors pour voir ce qui se passe et rassurer sa chienne anxieuse. Quelques instant après leur départ, un cri déchire la nuit.
Sébastien, Baptise et Vincent, appelle Nicolas qui ne répond pas. Du coup, ils ferment les portes et recherchent des arme improvisées pour se défendre d'une éventuelle agression. Hélas, Nicolas n'est pas un adepte des armes, ils trouvent par contre une trousse de secours et une boite à outils. Dans le doute ils empruntent le matériel. 
C'est alors que Manu envoie un autre message au Talkie-walkie : ordre à la communauté de se rendre au point d'évacuation prévu par le protocole. Les consignes sont de partir en véhicule, en groupe si possible, de fermer les fenêtre des véhicule et de ne s'arrêter sous aucun prétexte. Il est également demander de prendre le strict minimum avec soi. Le plan d'évacuation prévoit de prendre en charge les besoins de la communauté lors de la procédure.
Le groupe envisage d'utilise rle véhicule de Vincent, garé dans la cours. Au même moment trois silhouette frappe violemment la porte vitrée, poussant d'horrible cris et laissant des traces de sang sur le verre et les barreaux, ces derniers empêchant les individus, manifestement très énervés, d'entrer.

Vincent part faire le tour des portes et fenêtres, heureusement toutes fermées, avec des barreau et moustiquaire, et récupérer le matériel qu'il peut trouver. Séb se charge de sortir avec  Baptiste lpour récupérer la machette qui est dans la cabane à jardin, pendant que ce dernier se glisse dans la voiture et se prépare a démarrer en trombe.
Hélas d'autres individus rodent dans le jardin et Séb est attrapé par l'un d'eux, un solide burundais, qui semble vouloir le mordre ! Seb le frappe violemment dans le genou et lui retourne la rotule mais ça ne semble pas arrêter l'individu qui n'a même pas l'air de ressentir la moindre douleur ! Seb parvient heureusement à se défaire de l'étreinte avant d'être mordu. 
Plus question en tout cas d'aller chercher la machette. Seb s'enfuit vers la voiture et appelle Vincent qui court à son tour vers le véhicule. Baptiste démarre, renverse un agresseur devant lui avant de partir en marche arrière vers le portail, heureusement à moitié ouvert, par les intrus, appelons-les des zombis, vu leur comportement étrange : agressivité, insensibilité à la douleur, démarche hésitante et aléatoire, sang partout sur leur vêtement...
Baptiste ne parvient malheureusement pas a sortir sans esquinté sévèrement l'aile droite de la voiture de Vincent, furieux. Ce dernier propose immédiatement au groupe de se rendre non pas au point d'évacuation mais à l'ambassade, où les gendarmes disposent de matériel dont des armes, ce d'autant qu'il vient de recevoir un SMS de Nicolas "rejoingnez-moi à l'ambassade, j'ai un truc important à vous montrer"

L'ambassade de France
Nos trois survivants prennent donc la direction de l'ambassade. Sagement, ils décident de poser la voiture à quelque rue de leur objectifs et de finir à pied. Les rues sont désertes et mal éclairées (comme d'habitude). On y voit quand même ici et là des voitures abandonnées ou détruites, des traces de sang et des objets insolites.
En dépassant une voiture, Vincent est surpris par deux burundais, un jeune couple, qui tapent violemment sur la vitre. Voyant le groupe de Muzungu (= étranger blanc), ils se mettent à parler très rapidement, mélangeant le français et le kirundi. Ils sont coincé dans la voiture et cherchent à s'enfuir. hélas le bruit attire un groupe de zombie. L'homme, aidé par Vincent, essaie de briser la vitre pendant que Baptiste et Seb tentent de détourner l'attention des zombies. Les burundais sont tiré de leur voiture inextremiste. L'homme dégaine une arme et veut tirer sur les zombie mais Vincent l'en empêche. Tuer un zombie est difficile et le bruit à de forte chance d'en attirer d'autres.

Un peu plus loin, les survivants entendent, à une rue de l'ambassade, des chants d'église. Un groupe de burundais prie avec ferveur Dieu de les aider. Cela attirent les zombies et très vite la ferveur laisse place à des cris d'horreur. Le groupe effectue un détour pour éviter cette zone dangereuse mais soudain surgie un homme, fuyant le lieu du massacre. Il tombe au pied des survivants, blessé et visiblement mordu. La transformation s'opère sous leurs yeux. Réagissant immédiatement, Séb shoote dans la tête du zombi en devenir et lui décroche la tête avant qu'il ne devienne un danger.

Les survivants arrivent au niveau de l'ambassade, par le bas du boulevard de l'UPRONA. Baptiste ferme la marche, quand une main le retient par l'épaule. Un zombi surgis derrière lui et s’apprête à le mordre mais un tri abat la créature d'une unique balle en pleine tête. Plus loin, sur le toit de l'ambassade de Russie, un soldat cri victoire en russe, avale un goulée de vodka et commence à canarder la foule des créatures qui s'amasse au pied des murs. C'est une diversion bien venue pour le groupe, même si il est clair que le soldat russe à signer son arrêt de mort ainsi que celle de ses diplomates, la porte de l'ambassade donnant déjà des signes de faiblesse face à la masse de zombis à la force surhumaine...

Arrivés devant l'ambassade de France, les survivants ont la surprise de voir la porte de sécurité bloquée par une planche en bois. Cela leur évitera de chercher un moyen de pénétrer dans l'enceinte plutôt sécurisé de l'ambassade, mais si eux ont pu rentrer, qui d'autres est également à l'intérieur ?
 Les survivants commencent par s'enfermer dans le poste sécurité et Vincent distribue l'arsenal qui y est entreposé. Une fois convenablement équipé, Seb trouve sur sa boite mail un lien envoyé par Nicolas. Cela mène à un rapport top secret de l'entreprise Primus (premier fabriquant de bière au Burundi). Grâce à ses talents en informatique, Seb  parvient à récupérer la première partie du rapport mais il semble que quelqu'un à l'usine Primus vient d'effacer se rapport du serveur, au moment du téléchargement. Seb a pu identifier que l'instruction d'effacement venait de l'ordinateur de Gustave Nezogi, directeur de l'usine. La première partie de ce rapport parle d'un lot de bière ayant reçut un produit pharmaceutique de Pharmex et utilisé pour des tests à l'échelle humaine. Le lot comprend une série de bouteilles gagnantes à un jeu concours, de façon à faire revenir les "cobayes" au labo pour une série de tests. De plus le lots est faiblement radioactif afin de pouvoir déterminer rapidement si quelqu'un à bu une bière dans ce lot ou non.
Vincent décide de recontacter Nicolas. Le réseau passe très mal, mais il comprend à demi-mots que le bioinformaticien est déjà à l'usine Primus.

Pour sortir de l'ambassade, Vincent envisage d'utilisé la voiture blindée. Mais avant cela, les survivents utilisent les caméras pour voir ce qui se passe dans l'ambassade. Plusieurs zombies (des gardiens) se trouvent à l'intérieur. Le groupe utilisant les caméras et se déplaçant intelligemment, parvient à en enfermer certains. Soudain des coups de feu et des jurons retentissent, Manu, le collègue de Vincent, se trouve dans la cours et semble avoir complétement craqué. Il est sortit de son couvert et tire à tort et à travers sur les zombies. Vincent décide de l'aider, couvert par les autres. Bien armés, préparé, ils abattent 3 zombies, en évitant de ce faire tirer dessus par un Manu en pleine crise de nerfs. Vincent parvient à calmer ce dernier et les quatre compères embarque dans le véhicule blindé. Ils utilisent des fusées éclairantes pour détourner l'attention de zombies, massés devant la porte de l'ambassade suite au coup de feu, et faire une sortie tonitruante, en écrasant au passage un ou deux zombies.

A leur passage, le sniper russe n'est plus sur les toits et la porte de l'ambassade de Russie est béante... Les collègues russes n'ont pas eu autant de chance qu'eux...

L'usine Primus

Dans la voiture,les survivants reçoivent un message : l'évacuation ne se passe pas aussi bien que prévus et les évacués vont devoir rejoindre l'aéroport de Bujumbura en convois militaire. Le rendez-vous est donc à l'aéroport et l'avion d'évacuation décolle dans 5h !

Le groupe décide de se rendre à l'usine primus pour sortir Nicolas de là.
En chemin, Vincent qui conduit, cède un peu à la pression et décide d'écraser une zombie, qui devait exercer, avant sa transformation, le plus vieux métier du monde. Hélas il perd le contrôle du véhicule et l'emboutie dans un immeuble. Le véhicule reste utilisable mais est très abimé. De plus, il semble ques les chauffeurs aient détourné l'argent pour refaire le plain car Vincent s'aperçoit vite que le réservoir était à 5% à peine.
Le groupe de survivant doit donc abandonner le véhicule. Leur premier reflexe est de trouver une station essence, hélas, 3 zombies la hante. Les tentative de les dégommer n'ont fait qu'attirer plus de zombies, ce qui les oblige à battre en retraite (et heureusement, que Manu a récupéré, car son habileté au tir est bien utile au groupe). Sur les conseils de Seb, les survivant se rendent à l'usine Primus à pied. Seb connait un ami, Kimbol, qui habite tout à côté et qui possède un tas de voitures. Bientôt la maison de Kimbol est en vue, mais elle a l'air tout sauf tranquille...
Dès leur arrivée, le survivant constatent la présence de corps de zombie sur le sol (dont certains décapités, et des traces de sang. Les voitures sont en effet là. Le groupe pénètre dans la maison. Seb connaissant bien les lieux, il se dirige vers la chambre et découvre Natsumi, la femme de Kimbol, assise contre le mur, couverte de sang, un katana à porté de main. Elle semble inconsciente et mortellement blessée. Dans la pièce suivante, Kimbol protège son jeune fils Adam. Il est blessé lui aussi et porte entre autre une trace de morsure très nette sur le bras, mais il est conscient et valide. Son fils, lui, va bien. Kimbol reconnait Seb et baisse son révolver. Il accepte bien sûr d'aider le groupe qui va l'aider à s'enfuir avec sa femme et son fils. Les survivants observent attentivement Kimbol et certains pensent commencer à deceler chez lui des traces de transformation. Ils décident alors de lui retirer discrètement son arme, de l'éloigner de l'enfant et de l'abattre pour empêcher sa transformation. Pour éviter de faire trop de bruit, Seb détourne l'attention de Kimbol pendant que Vincent le frappe d'un coup de machette, hélas Kimbol se rend compte de la manoeuvre et évite en partie le coup, sa transformation est précipité par le stress et il devient une menace. Vincent parvient quand même à l'abattre, non sans une forme de remord.
Le groupe de survivants sors de la maison, non sans envisager de revenir pour Natsumi. Dans le jardin, Seb et Baptiste avisent une ombre qu'ils prennent pour un zombi mais Manu et Vincent, moins certains, retiennent leurs camarades de tirer à vu et d'ameuter tous les zombi aux alentours. Bien leur en a pris : il s'agissait du gardien, ayant eu le courage de sortir de sa cachette quand il a entendu des bruits qui lui paraissaient humain. L'homme parle en Kirundi saccadé, mais en gros le groupe comprend qu'il leur demande de les accompagner. Pendant que le gardien, Seb et Baptiste prépare une voiture, Vincent et Manu retourne dans la maison abréger les souffrance de Natsumi avec un oreiller. Le petit Adam est orphelin...

Le groupe, maintenant près à rejoindre l'aéroport en cas de besoin, décide donc de s'attaquer à l'usine primus. Manu et le gardien restent dans la voiture avec Adam, près à filer, pendant que Baptiste, Seb et Vincent s'enfoncent dans l'usine à la recherche de Nicolas.
A l'entrée, Seb utilise ses compétences informatique pour obtenir un plan de l'usine et il découvre entre autre l'existence de labo au sous-sol. Quelqu'un semble avoir eu accès au plan il y a moins d'une heure. Le premier objectif du groupe est le bureau du directeur au premier étage. Les caméras montre que les zombies sont regroupé au niveau de la chaine de production, qui est séparée de l'entrée par une simple porte coupe-feu. Il y a également des zombies dans les labos, labos qui semblent être à la pointe, trop pour une simple usine de bière.

Toujours prudent, les survivants décident de monter au 1er étage par les escaliers, l'ascenseur risquant d'être bruyant.
Au premier étage, le groupe fait face au directeur de l'usine, zombifié et dont les jambe ont été arrachées, mais leur expérience des zombies leur permet d'en venir facilement à bout. Dans le bureau, Seb télécharge la seconde partie du rapport envoyé par Nicolas et révèle l'origine des zombies. Nicolas, consultant indépendant pour Pharmex, avait prédit bioinformatiquement qu'un des produit du vaccin pourrait entrainé une modification du métabolisme. Pharmex avait mis au point un anti-corps recombinant nommé X734 qui corrigeait se problème mais l'anti-corps lui même pouvait être mortel, ce qui avait été prouvé par des tests mais que Pharmex avait ignoré, préférant lancer un test Phase III sans aucune autorisation (mise à part quelques pot-de-vin bien placés) sur la population de Bujumbura. Le X734 se trouve entreposé dans l'usine. Les survivants décident de tenter d'en ramener le plus possible, hélas les zombis sont trop nombreux pour espérer passer en force. De plus les survivants notent un étrange gaz verdâtre qui flotte dans l'usine.
Un plan se dessine : regrouper les zombis près de la porte coupe feu et inonder la pièce avec le système anti-incendie et court-circuiter la chaine de montage afin de carboniser les zombis via un très haut voltage. C'est Seb qui est aux commandes pour le court-circuit alors que Vincent et Baptiste tirent sur les zombis pour les attirer. Coup de chance, les différents dispositifs marchent encore et Seb parvient à les activer à distance. Résultats : plus d'une centaines de zombis sont massivement électrocutés et la voie est libre pour le groupe.

A l'aide encore une fois des ordinateurs et de la compétence de Seb, les groupes de zombies dans le labo sont tous attiré en enfermé dans des pièces sécurisés, laissant le chemin libre pour les survivants.
En descendant, ces derniers constate qu'un zombis énorme se trouve enfermé dans une pièce spéciale aux paroie en vitre pare-balles. La créature ainsi que tous les autres semble inerte. Le mystérieux gaz verdâtre flotte également ici. Au bout du couloir une pièce spéciale semble annimée. Plusieurs écran sont allumé et un individu en blouse blanche piannote fébrilement sur plusieurs claviers. Il s'agit de Nicolas. Il semble heureux de retrouver le groupe et leur explique rapidement la situation : il travaille sur une version moins dangereuse du X734, le X736, qui serait moins mortel. Il compte le tester sur Polka, qui a été mordue un peu plus tôt dans la soirée en le défendant contre un zombi et qui se transformera d'ici quelques heures si aucun antidote ne lui est injecté.
Nicolas a hélas besoin d'un composant important : un peu de sang de zombi. Avec l'aide du gaz, une forme de X734 atténué et des seringue du même composé, les survivants parviennent aisément à en récupérer sur certain des zombis enfermés et Polka redevient rapidement un adorable cocker ! L'antidote s'avère donc efficace et la formule inclue du X734, dont le groupe sait qu'une grande quantité est présente dans l'usine

Sur le point de partir Seb constate que Nicolas travaille sur un ordinateur directement relié au central de Pharmex et il estime qu'il serait facile d'envoyer des ordres de virement pour vider les comptes de la compagnie, au profit de certains survivants qui l'aurait bien mérité... Il attrape donc le clavier et se lance dans un dernier hack, pouvant potentiellement décrocher le jackpot. C'était le hack de trop ! au lieu de désactiver le contrôle des ordres de virement de l'ordinateur central, il désactive par erreurs la ventilation, le verrouillage des portes et active l'alarme, de quoi réveiller tous les zombis en stase du secteur ! bonne nouvelle, il ne reste qu'un seul zombi (les autres ont été patiemment éliminés), mauvaise nouvelle c'est le zombi énorme ! sa force lui permet facilement de venir à bout des vitre renforcées et il obstrue bien sûr le passage pour sortir. Habituer au tir de précision, Vincent lui décoche une balle en pleine tête... pour constater que la créature est bien plus résistante que ces congénères. D'un revers de la main, il envoie Nicolas contre le mur, l'assommant pour le compte. Les autres survivants sont eux-même blessé par la créature, au point que Vincent doive se replier. Baptiste décide d'user de ses connaissance en chimie pour utilise le matériel du labo et concocter un explosif improviser. Pendant ce temps Vincent et Seb détournent l'attention du zombi et l'éloignent du labo. Baptiste mélange rapidement quelque composants dispose d'une bombe qu'il va devoir faire exploser sur la tête du zombi même. Du couloir il s'élance en fredonnant "la chevauchée des Walkyries", d'un mouvement digne d'un gymnaste professionnel, il saute sur le dos du monstre, lui colle la bombe "Mac Gyver" dans le trou fait par le premier tir de Vincent, lâche un bec bunsen allumé et s'éjecte littéralement du dos de la créature dans une roulade ninja pour admirer le feu d'artifice (chacun ayant pris soin de se cacher derrière une vitre pour éviter d'être recouvert de sang et de tripaille de zombi.

Cette fois, la voie est vraiment libre et il est plus que temps de mettre les voiles. Pour se faciliter la vie et transporter les stocks de X734 et le composant pour le transformer en X736, Vincent contacte Arnaud et par son biais, les militaires chargés de l'évacuation. Ils acceptent d'envoyer un camion et un petit groupe pour prendre livraison de l'antidote et des civils.

Evacuation 

Une fois l'antidote chargé, les survivants et les militaires se rendent à l'aéroport, assiégé par des hordes de zombis. Le convois est le dernier à partir avec l'avion de l'armée française. L'aéroport est plus ou moins défendu par quelques militaires burundais, qui partent également, il va donc falloir que le convois se frait un chemin jusqu'à l'avion. Grenade pour détourner les zombies de l'entrée et tir à l'arme lourde sur les zombis les plus corriaces devraient faire l'affaire !
C'est sans compter sur le retrait peu organisé des militaires locaux et le bruit de l'avion qui affole les zombis. L'avion doit donc décoller maintenant le convois doit donc tenter de monter en marche ou fuir Buja par se spropres moyens... Le camion militaire ouvre le passage à grand coup de grenade et de rafale de FAMAS. Armés jusqu'au dents, prêt à en découdre après une terrible nuit, Seb, Vincent, Manu et Nicolas canardent les zombis qui tentent de s'accrocher à leur véhicule pendant que Baptiste est pied au plancher pour atteindre l'ouverture de la soute de l'avion cargo en plein décollage ! Dopés à l'adrénaline, luttant pour ne pas finir comme les carcasses mort-vivantes qu'ils n'ont eu de cesse d'affronter, les survivants parviennent à atteindre l'avion et à retourner au pays sain, sauf, en ayant sauvé quelques vies et avec un antidote potentiel !

Epilogue

Pour leurs exploits et leur courage, les survivants ont été officiellement félicités par le Président de la république.Vincent et Baptiste intègrent, à leur demande, les forces spéciales et le contre-espionnage, respectivement. Sebastien est nommé catégorie A. L'histoire ne dit pas ce que sont devenu Manu et Nicolas mais nul doute qu'ils aient également été récompensés.

Quelques heures après le départ des derniers réfugiés et en accord avec le conseil de sécurité de l'ONU, plusieurs forces armées joignent leur effort pour anéantir de manière radical la menace zombi. Bujumbura sera littéralement vitrifiée. Certains services de renseignements pensent toutefois avoir noté la présence d'individus au comportement suspect à la frontière du Congo...

Les locaux de Pharmex ont été mis sous scellés et une équipe d'investigation internationale épluche méticuleusement les dossiers scientifique et financier. Rien n'indique qu'une autre entité n'est pu être liée au tests du vaccin. En revanche certains haut placé de Pharmex ainsi que des membre du département R&D de la firme ont disparu avant d'être appréhendé. On ignore si ils ont pu emporter des documents avec eux...

« c’est un jet important là, si je réussi, on sera millionnaires ! il ne faut pas le rater » Seb, juste avant de faire un 1 naturel.

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